Directoire :
Dieu pour nous sauver, est venu à nous, s’est mêlé à nous, a vécu avec nous dans le contact le plus familier et le plus étroit, de l’Annonciation à l’Ascension… Il continue à venir à nous….[1]
Témoins :
La parole de Dieu on ne l’emporte pas au bout du monde, dans une mallette : on la porte en soi, on l’emporte en soi. On ne la met pas dans un coin de soi-même, dans sa mémoire, comme une étagère d’armoire où on l’aurait rangée. On la laisse aller jusqu’au fond de soi, jusqu’à ce gond où pivote tout en nous-même[2]
Erwin Vilain, Diacre – aumônier
[1] « Driectoire art XXVIII , Charles de Foucauld
[2] Madeleine Delbrêl, L’éblouie de Dieu
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